On ADORE les expressions québécoises qui à la fois colorent le discours de quelqu’un et nous rappellent bien souvent nos origines. Ceci étant dit, les expressions anglophones sont toutes aussi créatives. Voici un top 10 des expressions idiomatiques les plus drôles en anglais.
Alors qu’on entend souvent l’expression « il pleut à boire debout » ou « il pleut des clous », celle-ci se veut un peu plus cocasse dans la langue anglaise puisque l’on traduit la pluie torrentielle par « il pleut des chats et des chiens ».
« Casse-toi la jambe »! Drôle de façon de souhaiter bonne chance, n’est-ce pas? Comme la superstition le veut en français, on évite également de dire « good luck » en anglais pour ne pas attirer la malchance sur quelqu’un avant un événement important.
Cette expression se décrit principalement comme étant une perte de temps à chercher quelque chose dont les chances de la trouver sont très faibles puisque dans bien des cas, elle n’existe pas. À bien y penser, il est vrai qu’il doit être difficile d’attraper une oie sauvage qui court à toute vitesse…
Êtes-vous prêts à « couper la moutarde »? Cette expression, à la fois drôle et insensée, se définit comme une réussite en soi, notamment en dépassant les attentes. Soyons honnêtes, l’originalité est de mise!
On mentionne de « laisser dormir les chiens couchés » pour dire à quelqu’un de cesser de parler d’un problème quelconque par peur d’empirer la situation.
Le proverbe « voler la chèvre de quelqu’un » se décrit par le fait de fâcher quelqu’un. D’ailleurs, l’expression viendrait des courses de chevaux alors que les propriétaires prenaient soin d’inviter une chèvre dans l’enclos des chevaux pour les calmer avant une course.
Devenir excité et/ou fâché et/ou fou en faisant référence aux bananes? Hé oui! L’expression s’utilise autant pour décrire le comportement d’une personne ou d’un objet, par exemple une horloge qui fait des siennes ou quelqu’un qui apprend une nouvelle importante.
S’en sauver par la peau des dents… c’est le fait de s’en sauver de justesse! Cette expression a vu le jour il y a plusieurs centaines d’années déjà.
« Quand les cochons voleront », ça vous sonne une cloche? En français, l’équivalent utilisé est « quand les poules auront des dents » afin de définir quelque chose qui n’arrivera jamais.
Plus utilisée au Royaume-Uni, cette expression est utilisée à la fin d’explications toutes simples. Elle peut également être introduite lorsqu’un objectif est atteint. On pourrait dire que l’équivalent québécois serait « c’est ça qui est ça » ou encore « c’est aussi simple que ça ».